« …des touffes d’oculines vierges, désignées autrefois sous le nom de « corail blanc »,(…) figuraient un parterre de fleurs, émaillé de porpites parées de leur collerette de tentacules azurés, d’étoiles de mer qui constellaient le sable, et d’astérophytons verruqueux, fines dentelles brodées par la main des naïades, dont les festons se balançaient aux faibles ondulations provoquées par notre marche. »
Jules Verne – 20 000 lieues sous les mers.